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Maîtres ébénistes rencontrés sur le site D.HERMAND, Ile-de-France, Oise, Senlis, Chantilly, Reims, Val-d'Oise, Haut-de-France

A.Gosselin

Fils de l'ébéniste Antoine Gosselin, Adrien-Antoine Gosselin obtient sa maîtrise en 1772 et s'installe à Versailles, rue Duplessis.

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Il travaille pour la haute aristocratie et reçoit de nombreuses commandes du Garde Meuble royal entre 1785 et 1790, destinées aux châteaux de Versailles et de Saint-Cloud. Madame Adéläide lui fit exécuter pour son service particulier d'importants travaux, sur le payement desquels cette princesse devait encore plus de 5000 livres lorsqu'elle quitta la France. Ses meubles, commodes, secrétaires, encoignures, de style Louis XVI, sont élégants, simples et de belle fabrication.

Commode de josselin

Charles Cressent

Charles Cressent est né à Amiens (1685-1765). Il est le petit-fils d’un ébéniste Amiénois.Il est un des plus grands ébénistes de sa génération. A l’instar d’André-Charles Boulle, il fut un des rares ébénistes à bénéficier d’une grande notoriété de son vivant. Il est avant tout l'ébéniste de la Régence et du Régent. Ses commodes sont généralement « à la régence » en référence à leur deux tiroirs et à leurs pieds élevés.Utilisation du bois de satiné, du bois d’amarante, du bois de rose, soit simplement plaqués, soit en marqueterie formant des dessins en forme de treillis ou de losanges.

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Cressent réalisait lui-même ses propres bronzes donnant ainsi à son œuvre un caractère très personnel.(il a fabriqué également des pendules, des cartels, et des candélabres de bronze). Cétait un artiste délicat et varié, ses sièges ont toujours la même ligne, large, confortable,un peu solennelle, mais ce qui caractérise la manière de Cressent ce sont les somptueuses commodes ornées de beaux bronzes ciselés et dorés. De plus, il est important de noter qu’un groupe restreint de commodes incontestablement par Cressent existent, mais avec des bronzes inconnus de l’ébéniste, probablement ajoutés au cours des années1750-1760 par des marchands-merciers pour adapter les commodes au goût en vigueur dans la seconde partie du XVIIIème siècle.

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Etienne Avril

Etienne Avril (1748-1791) Maître en 1774. Ses oeuvres sont trop rares, il fabriquait surtout des petites tables, des secrétaires et des commodes. A la marqueterie dont il n'usait qu'avec discrétion, il préférait la richesse des bois qu'il choisissait avec un soin rafiné : ses acajous, ses satinés, sont du plus beaux grain et du plus beau coloris.

Appelé Avril l’aîné pour ne pas le confondre avec son frère Pierre, Etienne Avril, ouvre sa boutique principale rue de Charenton, à l’angle de la rue Moreau mais également quelques magasins près de la porte Saint-Antoine. On le sollicite pour de nombreuses commandes, notamment la reine Marie-Antoinette pour son appartement du château de Saint-Cloud.

Au cours de son activité d’ébéniste, Etienne Avril vend « quantité de commodes, consoles, bibliothèques, secrétaires et chiffonniers en acajou et bois des Indes, des tables de nuit,… ». Ses meubles sont le plus souvent en acajou et en satiné. Ils se caractérisent par des lignes rigoureuses et simples et des grandes surfaces unies, typiques du style de Louis XVI. L’œuvre d’Avril se compose également, mais en moins grande quantité, de meubles en placage de citronnier, de bois de rose et de quelques modèles en marqueterie géométrique. Les formes sont nettes, légères, bien proportionnées, les bronzes presque absents, visibles uniquement aux entrées de serrures et parfois sous forme de fines baguettes d’encadrements qui soulignent de l’architecture du meuble. Enfin, bien que moins fréquents, il réalise quelques meubles d’appui et de tables de tric trac en acajou.

Table à jeu d'Avril

Il circule un assez grand nombre de meubles marqués d'une estampille d'Avril manisfestement fausse, estampille appposées sur des meubles qui sont bien d'époque, mais nullement dans la "manière" du Maître......

A l’aube de la Révolution, Etienne Avril cède sa boutique de la rue de Charenton pour ne garder que les magasins de la porte Saint-Antoine. Après son décès, plusieurs ventes aux enchères, de plusieurs jours à chaque fois, sont organisées afin de les vider du nombre incalculable de ses marchandises accumulées.

Antoine-Mathieu Criaerd

 Antoine-Mathieu Criaerd,  très grand ébéniste du XVIIIème siècle (1689-1776) reçu maître en 1747. Il avait un atelier rue traversière au coeur du quartier saint Antoine à paris. Il s'est surtout distingué par la fabrication de nonbreuses commodes aux bronzes finement ciselés et dorés .

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 Il utilisait pour ses marqueteries des bois précieux colorés, bois de rose, palissandre, satiné....Et un mauvais jeu de mots  disait : Des meubles un peu "criaerds". Il est vrai que les oppositions de bois étaient souvent heurtées et manquaient de fondu.

Côté de commode

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Criaerd n 'en a pas moins acquis une juste renommée et continué dignement les traditions d'une lignée d'ébénistes talentueux et consciencieux.

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Commode tombeau de M-Criaerd

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Jacob rue Meslée (1796)

L'ainé des fils Jacob, Georges, qui portait le même nom que son père et qui avait adjoint à son patronyme le nom de "Desmalter" (nom de la propriété familiale en Bourgogne), adopta l'estampille modifiée : JACOB Desmalter, Rue Meslée (rue dont l'orthographe veritable est "Meslay").

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Le pére était toujours actif et avisé, veillant à tout. A ce moment, l'entreprise occupait de 250 à 300 ouvriers et ne pouvait suffire aux commandes. On fabriqua beaucoup, on fabriqua "riche" (on arrivait à l'Empire) mais loin des lignes exquises des "Jacob" du XVIIIème siècle.. Il n'en demeure pas moins que c'est à cette époque  que JACOB travaillant avec le peintre David, créa le style empire, imité de l'antique et qui cherchait dans l'art de la Rome impériale ses lignes majestueuses, somptueuses et dures.

Encoignure en ronce de noyer

Etienne Meunier

E.MEUNIER, reçu maître en 1732.

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Il est le premier et le plus notable de la dynastie des "Meunier".Il a produit quelques meubles, mais son talent est surtout attaché à la production de sièges : fauteuils de bureau, chaises, cabriolets légers et gracieux et surtout des lits de repos dont il a fabriqué un grand nombre. Il est sans doute à l'origine des fauteuils de bureau. Son atelier se situait rue de Cléry à Paris.

La "manière" d'E. Meunier est extrèmement simple, il n'utilise guère que des fleurettes parcimonieusement disposées pour la décoration de ses sièges, d'une lignes souvent sévère, mais toujours harmonieuse.

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Son neveu Jean Baptiste  Meunier reçu maître en 1739 s'est exclusivement adonné à la fabrication  de sièges.

L.FELIX

Peu de chose sur cet ébéniste du XVIIIème, sans doute un "petit" maître, la ligne du meuble est selon moi un peu raide.

Après pas mal de recherches sur cet ébéniste je n'ai pas trouvé grand chose  : Laurent Félix - ébéniste. parisien. Maître le 31 juillet 1755. Il exerça durant une trentaine d'année rue Saint-Victor.

Article trouvé dans le Nicolay

NicolayVoici l'estampille trouvée sur la commode LXV en bois de violette,  frappée sur le montant arrière droit du meuble. Elle est semblable à celle mentionnée ci-dessus.

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La commode

Comkersaint

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Pierre Roussel

Reçu Maître Ebéniste en 1745, Pierre Roussel s'installe rue de Charonne, dans le faubourg Saint-Antoine sous l'enseigne " L'Image de Saint Pierre ".

Belle encoignure en laque estampillée Roussel

Encoignure roussel Grâce à ses qualités d'ébéniste et surtout de marqueteur hors pair, il acquiert trés rapidement une grande notoriété. En 1762 il devient juré de sa communauté. Dès 1767 il est considéré comme l'un des meilleurs ébénistes de son époque ce que confirme "l'Almanach d'indication générale ou du Vray mérite " de 1769 qui le cite comme l'un des premiers ébénistes de Paris. Grandement apprécié par ses confréres, il devient député du corps des ébénistes en 1777 puis syndic deux ans plus tard. Ses productions abondantes et variées se sont adaptées à tous les styles du XVIIIe siécle, avec élégance et raffinement

Estampille de Roussel

Estampille roussel

On trouve deux estampilles portant ce nom. Elles ont été frappées par plusieurs membres d'une même famille qui se sont succédés dans l'art de l'ébénisterie.

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Le père, Pierre Roussel, était un ébéniste fameux dont les productions sont aussi nombreuses que variées. Ses créations témoignent d'une grande imagination et d'un talent très sûr.

Commode de Pierre Roussel

Commode estampillée Roussel

JEANSELME

JEANSELME : "Famille parisienne d'ébénistes en activité de 1824 à la fin du XIXème siècle, ils rachètent le fonds de la maison Jacob en 1847. Fournisseurs des cours de Louis-Philippe et de Napoléon III, ils réalisent des meubles de styles, des pastiches et des créations originales surtout sous la Restauration. Atelier au 7 bis rue du Harlay à Paris dès 1837. L'association Jeanselme Père et Fils est composée dès 1856 de Joseph Pierre François et de son fils Charles Joseph Marie. Elle participe aux expositions de l'industrie de 1834 et 1849 ainsi qu'à l'exposition universelle de 1855

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Philippe-Joseph Pluvinet

Aprés l'obtention de sa maîtrise en 1754, Philippe Joseph Pluvinet s'installa rue de Cléry où il travailla jusqu'à sa mort en 1793. Il se spécialisa dans la fabrication des sièges de luxes qu'il sculptait, avec goût et élégance, de fleurs stylisées et de draperies plissées. La plupart des sièges de la première époque sont de lignes gracieuses, légères et simples, les plus remarquables sont d'amples bergères à dossier plat. La sculpture, élégante et nerveuse, se compose de cartouches et de rinceaux. Sous Louis XVI, il a souvent fabriqué des fauteuils ou des sièges remarquables par le fini et la délicatesse de leurs sculptures. On peut citer de lui un canapé d'alcôve dans le style fin Louis XV, richement sculpté et doré, de l'ancienne collection Jacques Doucet, et la commande la plus remarquable que reçoit Pluvinet est sans doute celle d’un très important mobilier de salon pour le château de la Lorie (31 pièces).

Fauteuil de pluvinet atelier d hermand

Adam Weisweller

Sans doute né à Nieuwied-sur-le-Rhin, près de Coblentz, Weisweiler est initié au métier d’ébéniste dans les ateliers de David Roetgen ( très grand ébéniste ) Il s’installe rue du Faubourg Saint-Antoine en 1777, lorsqu’il se marie avec sa femme. Une fois devenu maître, il développe une grande notoriété.

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Il va recevoir de nombreuses commandes de la Cour, par le biais du marchand-mercier Dominique Daguerre, pour lequel il livre ses ouvrages de manière régulière. Au cours de la Révolution, Weisweiler achète plusieurs immeubles. En 1797, il quitte le Faubourg Saint-Antoine pour la rue des Tournelles où il possède une boutique dans laquelle il va poursuivre ses activités d’ébéniste. Peu après le décès de sa femme en 1809, son fils unique Jean, qui travaille jusque-là avec lui, est interné dans un asile psychiatrique. A cette époque, Weisweiler est mentionné comme un ancien ébéniste.

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CAREL

On ne connaît pas grand chose sur la vie et l'activité de cet habile ébéniste qui, né à Paris, aurait sans doûte résidé dans les alentours de Grenoble avant d'obtenir ses lettres de Maîtrise en 1723. Il semble, qu'influencé par le style Régence, Carel se spécialisa dans la fabrication des gros meubles, secrétaires, commode, bureaux, aux formes robustes, aux proportions pas toujours trés heureuses, à placage en bois de violette et aux marquetteries fleuries, de tons assez durs. Vers 1745, il participa amplement à l'évolution du style Rocaille.

Estampille carelQuoiqu'il en soit, ses ouvrages sont le reflet du style parisien du milieu du XVIII éme siécle et Jacques-Philippe Carel fut considéré comme l'un des meilleurs artisan de son époque. Il œuvra pour une riche clientéle française et etrangére et reçut également de nombreuses commandes du Garde Meuble de la Couronne.

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J-F Oeben

Jean-François Oeben figure comme l’un des plus grands ébénistes de la seconde moitié du XVIIIe siècle, remarquable à plus d’un titre par la qualité de ses ouvrages, par leur valeur esthétique, par le talent de mécanicien qu’il déploie au service de nombreux meubles mécaniques et enfin par le rôle majeur qu’il joue dans l’épanouissement du style néoclassique. Son influence est presque sans limite sur un grand nombre de ses contemporains, notamment ses élèves et collaborateurs.

Né à Heinsberg, non loin d’Aix-la-Chapelle, il est le fils de François Oeben et Mechtild Peters et le frère de Simon Oeben, lui-même ébéniste. Il arrive à Paris – après des études polyvalentes d’ébénisterie, sculpture sur bois, serrurerie ou encore mécanique – où il épouse en 1749 Françoise Marguerite Vandercruse, sœur du célèbre ébéniste. Il réside alors grande rue du Faubourg Saint-Antoine. Deux ans après, il entre dans l’atelier de Charles Joseph Boulle, qui travaille et demeure aux galeries du Louvres. Parallèlement, il commence à travailler à son nom et va alors fournir des marchands comme Lazare Duvaux.

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Commode oeben31La plus illustre cliente de ce dernier, la marquise de Pompadour, va d’ailleurs devenir sa protectrice. La liste des débiteurs conservée, révèle également des clients comme les duchesses de Brancas, de Lauraguais, les ducs de Choiseul, de Richelieu ou encore la Maréchale de Mirepoix. Parmi les membres de la famille royale, figure la Dauphine Marie Josèphe de Saxe.

Au décès de Charles-Joseph Boulle en 1754, Oeben est nommé ébéniste-menuisier du Roi aux Gobelins. Avec son frère Simon, ils partagent un atelier. Sa grande réputation lui attire de nombreuses commandes qui rendent très vite son atelier bien étroit. Dès 1756, il va obtenir des locaux plus vastes à l’Arsenal où se déroule le reste de sa carrière. Passionné de mécanique, le privilège d’y construire une forge est alors une chance pour Oeben.

Au nombre de ces collaborateurs figurent Riesner et Leleu, mais également divers artisans de grand renom comme le sculpteur Duplessis ou les bronziers Hervieux et Forestier. En 1759, il va obtenir un certificat de fournisseur des maisons royales, renouvelé en 1761 qui lui permet d’obtenir la maîtrise sans frais en vertu du privilège accordé aux ouvriers de la Couronne.

La manière d’Oeben est marquée sans conteste par ses marqueteries : superbes, d’une technique impeccable, elles en font l’un des plus grands maîtres du genre. Fleurs et feuillages en large bouquets, en corbeilles ou en tiges se détachent en bois précieux, de tons clairs, sur un fond plus soutenu, le plus souvent en satiné. Eminemment décoratifs, ils sont dessinés avec précision et souplesse, sans surcharge, très lisibles et habilement nuancés. Des rinceaux d’amarante les encadrent, sinueux sur les  meubles LXV, rectilignes ou entrelacés de grecque sur les modèles Transition. Ils sont cernés d’un double filet d’ébène et de buis. Plus rigoureuses, plus conforme à l’esprit néoclassique, les marqueteries de motifs géométriques sont également très fréquentes. Elles cohabitent parfois avec les compositions florales, notamment sur les commodes Transition. Les réseaux de cercles entrelacés sont les plus caractéristiques de la manière personnelle de l’ébéniste.

Détail d'un bas de commode de J-F Oeben

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Plus rare, mais tout aussi figurative, une marqueterie de quatre-feuilles dans un quadrillage en sycomore orne, extérieurement et intérieurement, quelques tables liseuses. Des placages unis, de satiné et d’acajou principalement, marquetés en fil dans le sens horizontal ou vertical, habillent aussi des commodes Transition, des bureaux à cylindre et quelques petits meubles. Les bronzes, de très belle qualité, suivent également l’évolution des styles. Ceux des meubles Louis XV se présentent sous forme de longues feuilles et de motifs étirés très éloignés de la rocaille. Malgré un immense talent, sa carrière s’achève par un décès prématuré, alors qu’il est ruiné, moins de deux ans après.

Sa veuve conserve son atelier et en confie la direction à Riesener, qui l’épouse en 1767.

Paul Sormani

Très grand ébéniste venu d'Italie pour s'installer en France, c'est à partir de 1854, rue du Temple à Paris, qu'il élabore la fabrication de meubles d'une qualité d'exécution de tout premier ordre inspirés des styles Louis XV et Louis XVI. Puis à partir de 1867, établi rue Charlot, Sormani connaît la consécration, devenant l'un des grands noms de l'ébénisterie du second Empire.Sa production est toujours très soignée et harmonieuse.

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L'impératrice Eugénie, femme de Napoléon III, a décoré ses palais de belles créations par Paul Sormani. Ses meubles de style Louis XV et XVI étaient très recherchés parmi la grande bourgeoisie Parisienne.

Paul Sormani, ébéniste et ciseleur de renom a orné ses meubles de riche décoration de bronzes ciselés et dorés.

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Date de dernière mise à jour : 06/11/2022